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Dossier Iran

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Articles

  • Revues de presse
  • 13/09/2011, Mikhaïl ROSTOVSKI, La guerre antiterroriste des USA a profité à l'Iran et à la Chine, RIA Novosti
    En 1958, la monarchie a été renversée en Irak. Depuis cette époque l’Iran n’a jamais eu d'ennemi plus dangereux et plus déterminé.
    Mais en 2003, dans le cadre de la guerre contre le terrorisme mondial, les Etats-Unis ont anéanti le régime de Saddam Hussein. Et d'ennemi juré de l'Iran, l’Irak a commencé à se transformer rapidement en un pays dépendant de Téhéran.
    Pendant que les Etats-Unis cherchaient Ben Laden, la Chine développait son économie et modernisait son armée. Résultat : la Chine est le plus grand exportateur du monde. Les Etats-Unis ne sont plus le plus grand marché automobile mondial. La Chine évince progressivement les Etats-Unis même dans leur arrière-cour. Désormais Pékin, et non plus Washington, est le plus grand partenaire commercial du Brésil.
  • 03/09/2011, Sarkozy évoque une «attaque préventive», El Watan
    Le président français, Nicolas Sarkozy, a averti mercredi l’Iran de la possibilité d’«une attaque préventive» contre ses sites nucléaires s’il maintenait ses ambitions dans ce domaine, sans citer les pays qui pourraient être tentés par une telle option.
    Sarkozy vole au secours d'Israël.
  • 05/08/2011, L’Iran et la Turquie face aux «révolutions arabes» (II), Observatoire de la Vie Politique Turque
  • 02/08/2011, L’Iran et la Turquie face aux «révolutions arabes» (I), Observatoire de la Vie Politique Turque
  • 19/07/2011, La Chine resserre ses liens économiques avec l'Iran, Le Point
    Les autorités chinoises vont signer un contrat de quatre milliards de dollars (2,82 milliards d'euro) avec l'Iran portant sur la construction d'un métro en République islamique.
    Deuxième pays importateur de pétrole iranien après le Japon, la Chine est engagée depuis longtemps dans des projets d'infrastructures en Iran, où des sanctions économiques envers la République islamique interdisent aux entreprises occidentales d'investir.En février déjà, la Chine et l'Iran avaient signé un contrat de 13 milliards de dollars pour la construction d'un réseau ferroviaire dans le pays.
  • 06/07/2011, Victor KOTSEV, La crise iranienne proche de son apogée ?, Questions Critiques
    Alors que l'impasse entre l'Iran, les Etats-Unis et leurs alliés s'intensifie, le nombre de possibilités restantes se réduit progressivement. En fin de compte, une sorte de compromis semble inévitable, mais la violence qui lui précèdera, et qui exactement restera pour négocier, restent un mystère.
    Tout le monde spécule...spécule... sur des rumeurs.
  • 28/06/2011, M. K. BHADRAKUMAR, Conférence sur le terrorisme - L'Iran se construit un « hub » AfPak, Questions Critiques
    La participation des présidents du Pakistan et de l'Afghanistan à la conférence internationale sur le terrorisme qui s’est tenue à Téhéran ce week-end est en passe d’être une importante victoire diplomatique et politique pour l'Iran, à ce moment politique précis dans cette région. Asif Ali Zardari et Hamid Karzaï ont tous deux été reçus par le dirigeant suprême iranien, l'Ayatollah Seyed Ali Khamenei.
  • 05/03/2011, L’effarement d’Israël, Monde en Question
  • 02/03/2011, Serge LEFORT, Les impasses de Wallerstein, Monde en Question
  • 22/12/2010, Alain GRESH, La prochaine guerre, Les blogs du Diplo
    L’incapacité du président Barack Obama à obtenir l’arrêt de la colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem illustre la partialité de Washington. Elle confirme l’absence de détermination sérieuse des Etats-Unis à imposer la paix sur le front israélo-palestinien. Le risque est grand alors de voir cette « non-paix » se transformer en conflit ouvert, la seule incertitude tenant au lieu de la prochaine guerre : Gaza, le Liban ou l’Iran ?
  • 02/12/2010, Politique nucléaire de deux poids deux mesures, Monde en Question
  • 24/10/2010, Alain GRESH, La gauche et l’Iran, Les blogs du Diplo
  • 28/07/2010, Alain GRESH, Un été chaud au Proche-Orient (I), Les blogs du Diplo
  • 05/07/2010, Revue de presse, Monde en Question
  • 23/06/2010, Netanyahu dénonce une "alliance contre nature" visant Israël, Reuters-Yahoo! Actualités
    Critiqué après l'assaut meurtrier donné le 31 mai contre un convoi humanitaire en partance pour la bande de Gaza, Netanyahu a appelé à la formation d'une union nationale contre ce qu'il a décrit comme "une violente attaque de délégitimation" de l'existence de l'Etat d'Israël.
    Le chef du gouvernement a par ailleurs déclaré que les militants propalestiniens qui avaient organisé cette opération faisaient partie d'une "campagne orchestrée par les ennemis d'Israël, dans une alliance contre nature entre l'islam radical et l'extrême gauche", faisant référence aux groupes soutenus par l'Iran.
    Commentaires : Rhétorique classique d'un gouvernement aux abois. La bonne nouvelle vient en fin de dépêche. Netanyahou craint par dessus tout la résistance israélienne à la colonisation.
    Pour finir, Netanyahu a vilipendé l'extrême gauche israélienne, évoquant "un scandale national" à propos des militants israéliens qui boycottent les produits "made in Israël" pour protester contre l'attitude de l'Etat juif dans les territoires palestiniens.
  • 19/04/2010, Barak: Iran poses no immediate existential threat to Israel, Ha'aretz - Palestine News Network
    Le Ministre de la Défense Ehud Barak a dit lundi à la Radio d'Israël que la seule issue à l'impasse actuelle avec l'Iran est un mouvement Israélien audacieux, ajoutant qu'il sentait que l'Iran ne posait pas une menace existentielle immédiate à Israël.
  • 18/04/2010, Zvi BAR'EL, Will sanctions against Iran really serve the West's interests?, Ha'aretz
    Les partisans de sanctions contre l'Iran doit avoir à l'esprit une statistique intéressante : selon une enquête menée par une organisation de consommateurs iraniens, l'Iran occupe le septième rang dans le monde pour l'achat de produits cosmétiques. Chaque année, les Iraniens dépensent environ 2,1 milliards de dollars en crèmes, rouges à lèvres, shampoing, maquillage, et la plupart de ces articles sont importés de l'étranger.
  • 16/04/2010, L’Iran, après plus de 30 ans de régime islamique, Lutte Ouvrière
  • 15/04/2010, La Chine, l’Iran et le Conseil de sécurité de l’ONU, Le Monde diplomatique
  • 14/04/2010, Revue de presse, Monde en Question
  • 13/04/2010, Editorial : We're not nearing a Holocaust, Ha'aretz
    Ce n'est pas la première fois Netanyahou assimile la menace iranienne avec l'Holocauste des Juifs en Europe. La comparaison est erronée et préjudiciable. Indépendant et souverain l'État d'Israël n'est pas faible comme les communautés juives en Pologne, en Hongrie ou en Allemagne, qui ne pouvaient pas se défendre contre les nazis meurtriers et leurs collaborateurs. Israël peut se protéger contre ceux qui menacent son existence et de sa sécurité, comme il l'a fait dans le passé alors que la communauté internationale avait minimisé la gravité d'une menace.
    Si Netanyahou voulait encourager les dirigeants du monde à agir contre l'Iran, il aurait pris part au Sommet de Washington sur le nucléaire cette semaine et aurait ses avertissements poignants directement à ses homologues. Mais Netanyahou était préoccupé par la critique de la capacité nucléaire de l'Israël, alors il a choisi de rester à la maison et de parler au mémorial plus sûr de Yad Vashem. Il a ainsi raté une chance de participer à l'effort international, ce qui souligne seulement l'isolement croissant d'Israël.
  • 12/04/2010, Recep Tayyip Erdogan à Paris, les yeux déjà fixés sur… Washington, Turquie Européenne
    Sur ce sujet-là [la sécurité nucléaire], en tout cas, le premier ministre turc s'est montré beaucoup plus offensif pour exposer sa propre conception de la sécurité au Moyen-Orient. Sur l'Iran, sur le conflit du Proche-Orient et sur les risques de prolifération nucléaire, il a suivi la ligne qui lui vaut à l'heure actuelle le soutien, pour ne pas dire l'admiration du monde arabo-musulman. À Paris, lors d'une rencontre particulièrement significative avec la presse, puisque tenue le 7 avril, quelques heures avant un déjeuner de travail avec le président français, le leader de l'AKP a qualifié Israël de "principale menace pour la paix régionale", en invoquant le rapport Goldstone sur l'offensive israélienne à Gaza. Quant à l'Iran, le chef du gouvernement turc a répété "que son programme nucléaire est uniquement civil" et qu'on ne pouvait pas mettre en accusation un pays pour un risque d'extension militaire que l'AIEA elle-même ne qualifie que de "probabilité". L'argument final, développé par Recep Tayyip Erdogan, a été une nouvelle fois que l'Etat hébreu possède officieusement l'arme nucléaire et qu'il n'adhère pas au Traité de non prolifération (TNP). Cette tirade, qui a peut-être incité Benyamin Nétanyahou à ne pas se rendre à Washington, en dit long sur l'état d'esprit qui est celui du premier ministre turc avant son arrivée à Washington pour un sommet nucléaire où il y a fort à parier qu'il sera avant tout le représentant d'une puissance régionale qui ne cesse de s'affirmer.
  • 12/04/2010, Benyamin Nétanyahou renonce au sommet nucléaire de Washington mais Recep Tayyip Erdogan y participera, Turquie News
    Se posant en médiateur du différend qui oppose les puissances occidentales et la république islamique, quant à la production par celle-ci d'uranium enrichi, la Turquie défend résolument la nécessité de parvenir à une solution diplomatique et rejette toute idée de sanctions contre Téhéran. Le premier ministre turc, notamment, s'est fortement engagé dans cette entreprise en s'efforçant régulièrement de «dédiaboliser» l'Iran. En outre, il n'a cessé de regretter que l'on puisse demander à l'Iran de se conformer aux requêtes de l'AIEA (Agence Internationale d'Energie Atomique) et au traité de non-prolifération (TNP), alors même qu'on tolère que l'Etat hébreu, qui n'est pas signataire du TNP, détienne officieusement l'arme nucléaire.
    Benyamin Nétanyahou a certes réagi rapidement en déplorant «qu'Erdogan choisisse sans cesse d'attaquer Israël». Mais force est de constater qu'Israël, mis à mal par la diplomatie turque au Moyen-Orient, tandis que ses relations avec les Etats-Unis sont au plus bas, a finalement du renoncer à participer à un sommet nucléaire où il se serait retrouvé dans une position particulièrement délicate. En réalité, cette absence du premier ministre israélien reflète l'isolement diplomatique actuel de l'Etat hébreu, et plus particulièrement la solitude sur la scène internationale du gouvernement Nétanyahou.
  • 12/04/2010, Et l'arsenal nucléaire israélien ?, Le Temps d'Algérie
    Pour s'assurer les alliances nécessaires autour de ce qu'il considère désormais comme un véritable acte de foi qui permettrait à son pays d'être le précurseur en matière de non-prolifération d'armes atomiques, et surtout s'affirmer en tant que leader d'un monde sans armes atomiques, Hussein Barack Obama organise cette «party».
    Une «party» d'où sont exclus la Syrie, l'Iran et la Corée du Nord, tous, pourtant, signataires du traité de non-prolifération nucléaire, à l'inverse d'Israël, invité mais dont le premier ministre... a renoncé de participer à la dernière minute !
    Un autre paradoxe de cette rencontre qui réunira 47 dirigeants dont la tâche sera de trouver la parade la plus appropriée pour contrer toute éventuelle prolifération atomique, soit, mais surtout éviter que le «terrorisme international» ne mette la main sur des produits qui lui permettraient de fabriquer des «bombes sales».
    Comme s'il pouvait y avoir des bombes propres ! Mais passons sur cette sémantique grotesque pour préciser néanmoins qu'au-delà de cet objectif, noble en apparence, il en est un autre beaucoup plus subtil qui s'imposera de lui-même lors de cette rencontre.
    En effet, les participants ne pourront pas ne pas évoquer le cas de l'Iran qui – propagande des relais sionistes oblige – s'avère être le sujet de prédilection des Occidentaux, au prétexte que Téhéran cherche à tout prix à se doter de l'arme nucléaire. Les sanctions que l'Occident cherche à imposer à l'Iran seront-elles acceptées par l'ensemble des participants, ce qui permettrait d'avancer dans ce sens lors des prochaines assemblées des Nations unies et surtout de la conférence visant à renforcer le traité de non-prolifération nucléaire prévue à New York en mai ?
    Le terrorisme, quel qu'il soit, doit être combattu, à tout prix, sans relâche. Mais il est aussi d'autres terrorismes plus sournois et cyniques qu'il convient de combattre.
    Le terrorisme d'Etat, comme celui que pratique en toute impunité Israël, en est l'exemple parfait. Et quand la France des droits de l'homme réaffirme ouvertement son droit à détenir un arsenal nucléaire pour des raisons de dissuasion et de sécurité, on ne voit pas pourquoi des pays comme l'Iran ou toute autre nation, quelle qu'elle soit, ne fasse pas aussi usage de cet alibi.
  • 09/04/2010, Finkelstein : les USA ne donneront pas de feu vert pour bombarder l’Iran, Al-ManarTV - CCIPPP
  • 08/04/2010, Gideon LEVY, What would happen if Israel stopped fighting the world?, Ha'aretz
    La peur est l'arme du despote, un moyen de créer une fausse unité et de prévenir les mouvements rebelles. La peur nourrit aussi la xénophobie, en substituant les problèmes domestiques à la préoccupation de savoir si l'ennemi est réel ou imaginaire. De l'armement du Hamas dans les tunnels aux accusations que des travailleurs étrangers et des réfugiés propagent criminalité et maladies, de la menace nucléaire iranienne à la grippe porcine - ce sont des méthodes éprouvées d'intimidation par l'exagération.
    Si nous laissons le Golan, les missiles vont atterrir sur Rosh Pina ; si nous nous retirons de Yitzhar, des roquettes Katioucha vont tomber sur nos têtes dans la région de Dan. Si nous ne bombardons pas l'Iran, c'est nous qui sauterons ; si nous levons le blocus de Gaza, Ashkelon sera détruit. Il peut y avoir un grain de vérité dans toutes ces menaces et ces prédictions, mais quand aucun scénario moins menaçant n'est proposé, il est facile de se demander pourquoi nous avons besoin de tout cela.
  • 08/04/2010, Erdogan : «Israël menace la paix régionale», Le Figaro
    La Turquie est traditionnellement le principal allié d'Israël dans le monde musulman. Mais les relations entre les deux pays se sont détériorées depuis la guerre à Gaza fin 2008 et début 2009.
    M. Erdogan a accusé Israël d'être «la principale menace contre la paix» au Proche-Orient. «Si un pays fait usage d'une force disproportionnée en Palestine, utilise des bombes au phosphore à Gaza, nous n'allons pas lui dire: «Vous avez bien fait, bravo», a déclaré le chef du gouvernement turc. Il y a eu une attaque à Gaza qui a fait 1 500 morts [décembre 2008-janvier 2009] et les motifs invoqués sont des mensonges. Lisez le rapport Goldstone. Goldstone est juif et son rapport est clair, a poursuivi M. Erdogan, chef du parti islamo-conservateur AKP. S'il dérange Israël, c'est parce qu'il décrit des réalités. Israël mène une politique d'invasion et de provocations permanentes. Ce n'est pas parce que nous sommes musulmans que nous le disons : notre approche est humanitaire.» Il a également justifié son opposition à des sanctions contre l'Iran par le fait qu'Israël, réputé posséder l'arme nucléaire, ne subit aucune pression.
  • 02/04/2010, Efraim SNEH, When friends are mad at you, Ha'aretz - ContreInfo
    Efraim Sneh, ancien ministre adjoint de la Défense, analyse les tensions israélo-américaines en relation avec le dossier iranien. Inquiet de la dégradation de l’image internationale d’Israël, il conclut que la meilleure option est celle d’un gel de la colonisation en échange de sanctions unilatérales des USA contre Téhéran. Faute de quoi, Israël devrait attaquer l’Iran avant l’hiver prochain, juge-t-il.
  • Avril 2010, Jean-Paul CHAGNOLLAUD, Israël lancé dans une guerre sans fin, Le Monde diplomatique
    La manne financière déversée notamment par l'Union européenne a créé en Palestine des enclaves de prospérité artificielles. Pendant ce temps, la colonisation se poursuit et l'armée israélienne se prépare à de nouveaux affrontements, au Liban, en Iran ou en Cisjordanie, à la poursuite d'une impossible victoire définitive.
  • 27/03/2010, Editorial : A dangerous government, Ha'aretz
    Le choix est aujourd'hui entre la poursuite des constructions à Jérusalem-Est pendant les négociations et l'avenir d'Israël comme un État sûr, démocratique et Juif [Israël ne peut être à la fois un État Juif, c'est-à-dire ethnico-religieux, et démocratique]. La détérioration des relations avec l'administration américaine se déroule au moment crucial des efforts internationaux pour contraindre l'Iran et renforcer l'axe des états arabes modérés. Dans la lutte inutile avec les États-Unis, un allié indispensable pour Israël, le gouvernement Netanyahou se révèler être le plus extrémiste et dangereux de l'histoire du pays.
  • 22/03/2010, United States will not tolerate a nuclear Iran, Clinton tells AIPAC, Ha'aretz
    "Notre but n'est pas d'appliquer des sanctions graduées, mais des sanctions douloureuses [qui mordent comme un chien enragé]," a déclaré Hillary Clinton à l'American Israel Public Affairs Committee.
    Commentaires : Il est clair que les États-Unis sont prêts à prendre des sanctions drastiques contre l'Iran mais aucune contre Israël qui viole le droit international.
  • 22/03/2010, Israël renforce Al-Qaida, Monde en Question
    Général David Petraeus commandant en chef du CENTCOM : Les tensions israélo-palestiniennes se transforment souvent en violence et en confrontations armées à grande échelle. Le conflit provoque un sentiment anti-américain, à cause de la perception du favoritisme des États-Unis à l'égard d'Israël. La colère arabe sur la question palestinienne limite la puissance et la profondeur de nos relations avec des gouvernements et des peuples dans l'AOR [zone de responsabilité du CENTCOM] et affaiblit la légitimité des régimes modérés dans le monde arabe. Pendant ce temps là Al-Qaida et d'autres groupes militants exploitent la colère pour mobiliser. Le conflit offre également à l'Iran une influence dans le monde arabe via ses clients, le Hezbollah libanais et le Hamas.
  • 17/03/2010, Jean-François GOULON, Le programme nucléaire iranien a-t-il réellement une dimension militaire ?, Questions Critiques
  • 21/02/2010, Zvi BAR'EL, Iran is regional superpower even without nukes, Ha'aretz - Questions Critiques
    On ne peut pas dire grand chose sur le Premier ministre Benjamin Netanyahou, mais on ne peut pas nier sa chevalerie. « Par chance », il est tombé sur son homologue grec, George Papandréou, durant sa visite à Moscou, et il a n’a pas mis longtemps à l’alerter que l’un des dangers derrière le programme nucléaire iranien est « une course à l’armement nucléaire au Moyen-Orient, où des pays comme la Turquie, l’Arabie Saoudite et l’Egypte chercheront à acquérir des armes nucléaires ». La menace contre la Grèce, a indiqué Netanyahou, repose en la possibilité que la Turquie musulmane acquiert des armes nucléaires.
  • 18/02/2010, Rapport de l’AIEA [en français et annoté] - GOV/2010/10, Questions Critiques
  • 28/01/2010, Burqa, « les talibans auraient applaudi »..., Les blogs du Diplo
    Si l’Assemblée nationale adopte une loi sur la burqa, la France deviendra le troisième pays du monde, après l’Arabie saoudite et l’Iran, à légiférer sur la manière dont les gens (dans tous les cas les femmes) s’habillent.
  • Janvier 2010, Azadeh KIAN-THIÉBAUT, Le féminisme islamique en Iran : nouvelle forme d’assujettissement ou émergence de sujets agissants ?, Critique internationale n°46
  • Janvier 2010, Samy COHEN, Israël et l’Iran : la bombe ou le bombardement ?, Politique étrangère
  • 01/10/2009, Juan COLE, Dix fausses croyances sur l’Iran, ContreInfo
  • 18/08/2009, Deux millions et demi de réfugiés afghans privés de vote, Reuters-Yahoo! Actualités
    Deux millions et demi d'Afghans réfugiés au Pakistan et en Iran sont tenus à l'écart des élections présidentielle et provinciales organisées jeudi dans leur pays d'origine.
    Zekria Barakzaï a déclaré à Reuters que la communauté internationale avait refusé aux autorités afghanes les 50 millions de dollars nécessaires pour faire voter les réfugiés au Pakistan et en Iran.
  • Avril 2009, Ali RASTBEEN, L’Iran et les enjeux géostratégiques au XXIe siècle, Hérodote n°133
  • Janvier 2009, Antoine COPPOLANI, L’arc de crise selon Obama et ses conseillers, Politique étrangère
  • Novembre 2008, Farhad KHOSROKHAVAR, La répression des mouvements sociaux en Iran, Etudes
  • Octobre 2008, Reza KHAZANEH, Iran : avancées et maîtrise des programmes nucléaires, Politique étrangère
  • Juillet 2008, Mohammad-Reza DJALILI, Le flanc Est de l’Iran : opportunités et vulnérabilités, Politique étrangère
  • 04/09/2008, L'Iran courtise la Russie et la gauche latino-américaine, Questions Critiques
    Le Président bolivien Evo Morales est à Téhéran cette semaine, ouvrant la voie à un nouveau chapitre de la coopération économique et stratégique de son pays avec la République Islamique d'Iran. Celle-ci a promis des investissements lourds dans le secteur énergétique bolivien et d'autres projets en commun, dont certains impliquent d'autres pays d'Amérique Centrale et Latine, comme le Venezuela et le Nicaragua, sans négliger Cuba.
  • 08/04/2008, Le ministre Ben Eliezer envisage de rayer l’Iran de la carte, Voltaire
  • Avril 2008, Pierre MOSCOVICI, Quelle diplomatie européenne pour un Iran aux ambitions nucléaires ?, Revue internationale et stratégique n°70
  • Avril 2008, Michel MAKINSKY, L'Iran après les élections législatives de mars 2008 : Une victoire en trompe-l'œil ?, Revue internationale et stratégique n°70
  • Avril 2008, Farhad KHOSROKHAVAR, Les nouveaux intellectuels en Iran, Cahiers internationaux de sociologie n°125
  • 27/02/2008, Mansoor Hekmat - Démocratie : Conceptions et réalités (1), Mondialisme
  • Janvier 2008, Mohammad-Reza DJALILI, La politique arabe de l’Iran, A contrario
  • 15/02/2007, Immanuel WALLERSTEIN, Bush fonce-t-il tête baissée sur l'Iran ?, Le Grand Soir
  • 12/12/2007, Eric LAURENT, Téhéran, complice du 11-Septembre 2001 ou la "fabrique du mensonge", AgoraVox
    Dans mon dernier ouvrage (Bush, l’Iran et la bombe), j’essaie de décrire comment George W. Bush a planifié une intervention militaire de grande ampleur contre l’Iran. Une décision qui remonte à deux ans, prise dans le plus grand secret, et sur laquelle l’enquête que j’ai menée apporte quelques informations inédites notamment en terme de désinformation et de fausses révélations.
  • Janvier 2007, Mohammad-Reza DJALILI, L’Iran d’Ahmadinejad : évolutions internes et politique étrangère, Politique étrangère
  • Novembre 2006, Bruno TERTRAIS, Faut-il avoir peur de l’Iran ?, Etudes
  • Juillet 2006, Grégory BOUTHERIN, Daniel KIFFER, L’usage pacifique du nucléaire et la non-prolifération, Politique étrangère
  • Juillet 2006, Azadeh KIAN-THIÉBAUT, Mahmoud Ahmadinejâd, la césure, Outre-Terre n°16
  • Juillet 2006, Mohammad-Reza DJALILI, Thierry KELLNER, L’Iran et les deux géants asiatiques, Outre-Terre n°16
  • 11/01/2006, « Le Figaro » sur le pied de guerre, Réseau Voltaire
    Le Figaro, quotidien de référence de la droite française, caractèrise la reprise du programme nucléaire civil de l’Iran comme un point de « non-retour ».
  • Octobre 2005, Michel MAKINSKY, Iran-Palestine : d’une alliance l’autre ?, Outre-Terre n°13
  • Juillet 2005, Michel MAKINSKY, La nouvelle présidence iranienne : un jeu à multiples inconnues, Politique étrangère
  • Juillet 2005, Thérèse, DELPECH L’Iran nucléaire : la course contre la montre, Politique étrangère
  • Juillet 2005, Iman ANSARI, Internationale verte - Iran versus Perse, Outre-Terre n°12
  • Juillet 2005, Bernard HOURCADE, L’Iran entre nation, islam et monde, Etudes
  • Janvier 2005, Yann RICHARD, L’islam politique en Iran, Politique étrangère
  • Janvier 2005, Michel MAKINSKY, Téhéran-Ankara : empires ou partenaires ?, Outre-Terre n°10
  • Janvier 2005, Azadeh KIAN-THIÉBAUT, Iran : l'État islamique entre structures monopolistiques et modèle de l'État social, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°105-106
  • Septembre 2004, Nicolas DESSAUX, Mansoor Hekmat, du marxisme révolutionnaire au communisme-ouvrier, La Bataille socialiste
  • Juillet 2004, Anne-Sophie VIVIER, Évolution de la pensée religieuse dans un village chiite de l’Iran contemporain, Etudes rurales n°171-172
  • Avril 2004, Farhad KHOSROKHAVAR, L’Iran de l’après-Khomeyni au postréformisme, Critique internationale n°23
  • Juillet 2003, Michel MAKINSKY, Russie/Iran, Outre-Terre n°4
  • Janvier 2003, Azadeh KIAN-THIÉBAUT, L’islam, les femmes et la citoyenneté, Pouvoirs n°104
  • Avril 2002, Yann RICHARD, Intellectuels iraniens de l'entre-deux-guerres, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°95-98
  • Avril 2002, Didier BILLION, L’Iran : un partenaire essentiel, Revue internationale et stratégique n°46
  • Avril 2002, Benjamin R., BARBER Par-delà Djihad versus McWorld, Politique étrangère
  • Avril 2001, Farhad KHOSROKHAVAR, L’Iran, la démocratie et la nouvelle citoyenneté, Cahiers internationaux de sociologie n°111
  • 1999, Nouchine YAVARI-d'HELLENCOURT, Le féminisme post-islamiste en Iran, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°85-86
  • 1999, Azadeh KIAN-THIÉBAUT, La mère iranienne entre famille, État et société, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°85-86
  • 1999, Azadeh KIAN-THIÉBAUT, La classe moyenne urbaine, socle de la modernité en Iran post-islamiste, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°85-86
  • 1997, Azadeh KIAN-THIÉBAUT, Stratégies des intellectuels religieux et clercs iraniens face à la modernité occidentale , Revue française de science politique n°6
  • 1993, Yann RICHARD, La constitution de la république islamique d'Iran et l'État-nation, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°68
  • Hiver 1991, Keith KRAUSE, Transferts d'armement et gestion des conflits : le cas de la guerre Iran-Irak (Partie 2), Cultures & Conflits n°4
  • Hiver 1991, Keith KRAUSE, Transferts d'armement et gestion des conflits : le cas de la guerre Iran-Irak (Partie 1), Cultures & Conflits n°4
  • 1991, Yann RICHARD, L'Iran et la guerre du Koweit, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°62
  • 1991, Bernard HOURCADE, L'Iran au milieu des empires, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°62
  • 1991, Christian BROMBERGER, Brèves notes de Sirius et d'Iran, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°62
  • 1980, Christian BROMBERGER, Islam et révolution en Iran : quelques pistes pour une lecture, Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée n°29

Dossiers

Revues

Livres

  • BALTA Paul, Iran-Irak - Une guerre de 5000 ans, Anthropos, 1987
  • BIARNÈS Pierre, Pour l'empire du monde - Les Américains aux frontières de la Russie et de la Chine, Ellipses, 2003
    Le fil rouge des seize chapitres sur l'arc de crise mondial, est la démonstration de la course de vitesse engagée par les Etats-Unis d’Amérique, dans leur volonté hégémonique de contrôle de l’empire du monde, pour réduire au maximum l’influence russe en Europe par un refoulement eurasiatique et contenir la Chine notamment en la maintenant sous dépendance énergétique de zones productrices sous contrôle américain.
  • BLUM William, Les guerres scélérates - Les interventions de l'armée américaine et de la CIA depuis 1945, Parangon, 2004
  • CHALIAND Gérard, Le malheur Kurde, Seuil, 1992
  • CHOMSKY Noam et HERMAN Edward, La Fabrique de l’opinion publique - La politique économique des médias américains, Le Serpent à plumes, 2003 [Le Monde diplomatique]
  • COSME Théo, Moyen-Orient 1945-2002 - Histoire d'une lutte de classes, Senonevero, 2002 [Introduction]
    De la fin de l'Empire ottoman à la guerre du Golfe (1991), la "Question d'Orient" était celle du développement des rapports capitalistes au Moyen-Orient. L'Orient fut une " Question " car ce développement n'était pas endogène. La formation de bourgeoisies y fut cahotique et la production de prolétaires catastrophique. Depuis la fin de l'Empire Ottoman, la formation de rapports sociaux spécifiquement capitalistes s'est déroulée au Moyen-Orient au travers de la succession de trois fractions dominantes de la bourgeoisie : bourgeoisie foncière, administrative et commerçante ; bourgeoisie nationaliste ; bourgeoisie rentière (malgré nos critiques, nous reconnaissons notre dette aux travaux de Georges Corm). Chacune, dans sa spécificité, inclue et exprime à un moment donné les nécessités générales du développement du capital. Par là également, leur action peut parvenir à d'autres buts que ceux qu'elles s'étaient primitivement fixés. C'est dans ce cadre que nous étudions la formation de l'État d'Israël, la montée de l'islamisme, la révolution iranienne, la guerre du Liban, la première Intifada, l'échec du mouvement palestinien, l'invasion du Koweit et l'élimination finale de la figure autonome du rentier. Plus généralement les guerres israélo-arabes sont, pour les pays arabes, le critère et l'histoire du développement en leur sein des rapports sociaux capitalistes, l'existence d'Israël a été jusqu'à maintenant la contrainte à ce développement.
    C'est la guerre du Golfe en 1991 qui a définitivement résolu le problème essentiel que dans la restructuration mondiale du mode de production capitaliste posait le Moyen-Orient : l'intégration de la rente pétrolière dans la péréquation générale du taux de profit. On peut alors cesser de considérer le Moyen-Orient comme une question particulière. La "Question d'Orient" est fondamentalement résolue dans la mondialisation des rapports capitalistes ce que confirment la caducité du sionisme l'effacement et les risques d'implosion de l'Arabie Saoudite, la seconde Intifada, l'évolution de l'islamisme et la guerre américaine en Afghanistan.
  • COVILLE Thierry, Perspectives Iran, Nord Sud Export, 2002 [Abstracta Iranica]
  • DIGARD Jean-Pierre, Bernard HOURCADE et Yann RICHARD, L’Iran au XXe siècle - Entre nationalisme, islam et mondialisation, Fayard, 2007
  • FISK Robert, La Grande Guerre pour la civilisation - L'Occident à la conquête du Moyen-Orient, La Découverte, 2007
    Depuis les années 1970, l’histoire du Moyen-Orient se confond presque avec celle de ses guerres et de ses conflits : guerre soviétique en Afghanistan (1979-1989), guerre Iran-Irak (1980-1988), guerre du Liban (1975-1991), guerre du Golfe (1991), guerres américaines en Afghanistan (2001) et en Irak (2003), sans oublier l’interminable conflit israélo-palestinien. Si ces années furent celles d’une « grande guerre pour la civilisation », c’est en raison du rôle persistant que les puissances occidentales – la France et le Royaume-Uni dans la première partie du XXe siècle, puis les États-Unis – n’ont jamais cessé de jouer dans une région qu’elles considèrent comme leur zone d’influence : aux entreprises coloniales succéda l’ère des manœuvres diplomatiques, des jeux d’alliances complexes et secrètes, des coups d’État et des trafics d’armes, le tout dans une indifférence quasi complète au sort des innombrables victimes de cette histoire dramatique. Dans ce livre magistral, Robert Fisk raconte et documente notamment le soutien cynique apporté par les régimes occidentaux aux brutales dictatures de la région, et témoigne, année après année, de la montée concomitante de l’amertume et de la haine de millions de musulmans à l’égard de l’Occident. Mêlant récits, enquêtes, dialogues avec les acteurs – dirigeants et anonymes –, analyses et souvenirs personnels, Robert Fisk retrace l’épopée tragique du Moyen-Orient, à travers la chronique détaillée de ses sanglants épisodes.
  • HEKMAT Mansoor, Archive Internet des Marxistes - La Bataille socialiste
  • DJALILI Mohammad-Reza, Géopolitique de l’Iran, Complexe, 2005 [Abstracta Iranica]
  • LAURENS Henry, Paix et guerre au Moyen-Orient - L'Orient arabe et le monde de 1945 à nos jours, Armand Colin, 2005
  • MEARSHEIMER John J., WALT Stephen M., Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, La Découverte, 2007 et 2009 [Extraits - Alternatives International - Arab Commission for Human Right-ReSPUBLICA - Confluences Méditerranée - ContreInfo - Il Manifesto-CAPJPO - EuroPalestine - L'Harmattan - Info-Palestine - La vie des idées - Libération - Objectif-info* - Rue89* - Scripto]
    Depuis plusieurs décennies, la pièce maîtresse de la politique moyen-orientale des États-Unis a été sa relation avec Israël. Les États-Unis viennent à la rescousse d'Israël en temps de guerre et prennent son parti dans les négociations de paix. De fait, entre 1972 et 2006, Washington a mis son veto à 42 résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU critiquant la politique israélienne. Et, chaque année, Israël continue de recevoir trois milliards de dollars d'aide américaine - un sixième de l'aide étrangère des États-Unis. Pourquoi les États-Unis fournissent-ils un soutien matériel et diplomatique aussi considérable et aussi constant à Israël ? Telle est la question à laquelle entendent répondre John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt, deux universitaires américains réputés. Ils démontrent, dans ce livre extrêmement documenté, que ce soutien ne peut s'expliquer par des intérêts stratégiques communs ni par des impératifs moraux, mais qu'il est surtout dû à l'influence politique d'un lobby qui travaille activement à l'orientation de la politique étrangère américaine dans un sens pro-israélien. Même si elles sont loin de faire l'unanimité parmi les Juifs américains, les organisations du lobby pro-israélien exercent des pressions redoutablement efficaces sur le Congrès, les présidents et leur administration et ont une influence considérable sur l'université et les médias. Le lobby pro-israélien a ainsi joué un rôle clé dans la politique américaine au Moyen-Orient sous l'administration Bush au nom de la "lutte contre le terrorisme", comme en témoignent la désastreuse invasion de l'Irak, la confrontation avec l'Iran et la Syrie, ainsi que la guerre au Liban de juillet 2006. John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt montrent que cette politique n'était ni dans l'intérêt national des États-Unis ni dans celui d'Israël sur le long terme.
  • MERVIN Sabrina (sous la direction de), Les mondes chiites et l’Iran, Karthala/IFPO, 2007 [Géocarrefour]
  • TERTRAIS Bruno, L'arme nucléaire, QSJ PUF, 2008 [Extraits]
  • THUAL François, Abrégé géopolitique du Golfe, Ellipses, 1997

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Dossier créé le 11/10/2010 et mis à jour le 28/11/2017
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