Revue de presse Grippe A/H1N1 2010

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Revue de presse via Netvibes


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Dossiers

Août

  • 11/08/2010, Grippe A : des experts de l'OMS avaient des liens avec des fabricants de vaccins, Le Monde
    Cette fois, c'est officiel : la pandémie 2009-2010 due au nouveau virus grippal A (H1N1) est terminée.
    L'OMS a aussi mis en ligne, mercredi 11 août, la liste des 16 membres de ce comité et la déclaration d'intérêts faite par six d'entre eux.
    Parmi les six membres ayant effectué une déclaration d'intérêt, certains dirigent des centres de recherche ayant reçu des fonds de l'industrie pharmaceutique. L'OMS a cependant estimé qu'il n'y avait pas de conflit d'intérêts tels que les six experts auraient dû s'abstenir de participer aux travaux du Comité.
    Depuis son début en avril 2009, la pandémie a fait au total 18 500 décès, selon l'OMS - contre 250 000 à 500 000 attibuées chaque années à la grippe saisonnière.
  • 11/08/2010, List of Members of, and Advisor to, the International Health Regulations (2005) Emergency Committee concerning Influenza Pandemic (H1N1) 2009, OMS
  • 06/08/2010, Bulletin n°112, OMS

Juillet

  • 30/07/2010, Bulletin n°111, OMS
  • 29/07/2010, La grippe A (H1N1) : Retours sur « la première pandémie du XXIe siècle », Sénat n°685 tome I - Sénat n°685 tome II
    Un an après la signature des contrats, le Sénat épingle la gestion de la pandémie de grippe A/H1N1. Un rapport de la chambre estime que que le gouvernement a été “empêtré” dans des contrats “déséquilibrés” et rigides signés avec les producteurs de vaccins, qui ne lui ont pas laissé “beaucoup de choix”.
  • 23/07/2010, Bulletin n°110, OMS
  • 16/07/2010, Serge LEFORT, Un complot Internet, Monde en Question
  • 16/07/2010, Bulletin n°109, OMS
  • 09/07/2010, Bulletin n°108, OMS
  • 08/07/2010, La gestion des pandémies : H1N1, et si c'était à refaire ?, Sénat n°651
  • 06/07/2010, Rapport de la Commision d'enquête sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1), Assemblée Nationale
  • 02/07/2010, Bulletin n°107, OMS

Juin

  • 25/06/2010, Bulletin n°106, OMS
  • 18/06/2010, Bulletin n°105, OMS
  • 11/06/2010, Bulletin n°104, OMS
  • 07/06/2010, Serge LEFORT, Ils ont organisé la psychose, Monde en Question
  • 06/06/2010, L’OMS épinglée pour son rôle dans la pandémie de grippe A, News Of Tomorrow - Rapport (version provisoire)
    La gravité de la pandémie de grippe A/H1N1 a été “largement surestimée” par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), dénonce l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), a-t-on appris samedi 5 juin. Celle-ci épingle dans un rapport un “gaspillage de fonds publics” et des “peurs injustifiées”.
    Ce récit, approuvé vendredi 4 juin par la commission Santé de l’APCE, déplore “un grave manque de transparence”. Dans un communiqué, l’Assemblée se demande en effet “quelle influence l’industrie pharmaceutique a pu exercer sur les décisions prises”.
    Lors de la présentation du rapport vendredi à Paris, la rédactrice en chef du British Medical Journal, Fiona Godlee, a expliqué qu’une étude de sa revue avait montré que “les scientifiques qui ont élaboré des lignes directrices clés de l’OMS sur le stockage des vaccins contre la grippe avaient été payés par des groupes pharmaceutiques susceptibles d’en tirer profit”, selon le communiqué de l’APCE.
  • 04/06/2010, Bulletin n°103, OMS

Mai

  • 28/05/2010, Bulletin n°102, OMS
  • 21/05/2010, Bulletin n°101, OMS
  • 14/05/2010, Bulletin n°100, OMS
  • 07/05/2010, Bulletin n°99, OMS

Avril

  • 30/04/2010, Bulletin n°98, OMS
  • 23/04/2010, Bulletin n°97, OMS
  • 16/04/2010, Bulletin n°96, OMS
  • 09/04/2010, Bulletin n°95, OMS
  • 01/04/2010, Bulletin n°94, OMS

Mars

  • 26/03/2010, Bulletin n°93, OMS
  • 19/03/2010, Bulletin n°92, OMS
  • 12/03/2010, Bulletin n°91, OMS
  • 05/03/2010, Bulletin n°90, OMS

Février

  • 26/02/2010, Bulletin n°89, OMS
  • 19/02/2010, Bulletin n°88, OMS
  • 12/02/2010, Bulletin n°87, OMS
  • 11/02/2010, Vaccins : combien ça coûte ?, Telos
  • 10/02/2010, Vaccin contre la grippe A : un enterrement des plus discrets, Rue89-Yahoo! Actualités
  • 09/02/2010, «J'ai le sentiment d'avoir été floué!» - Entrevue exclusive avec le Dr Fernand Turcotte, Mondialisation
  • 05/02/2010, Bulletin n°86, OMS
  • 04/02/2010, OMS : les conflits d’intérêt ont-ils grippé la machine ?, Du grain à moudre
  • Février 2010, Le scandale de la grippe A, Protégez-Vous.ca

Janvier

  • 29/01/2010, Bulletin n°85, OMS
  • 26/01/2010, Déclaration du Dr Keiji Fukuda au nom de l'OMS à l'occasion de l'audition du Conseil de l'Europe sur la grippe pandémique H1N1, OMS
  • 22/01/2010, Déclaration de l’Organisation mondiale de la Santé sur les allégations de conflit d’intérêts et de «fausse» pandémie, OMS
  • 22/01/2010, L'action sanitaire internationale, Post frontière
    "J’affirme deux choses. La grippe aviaire n’a jamais existée mais ça nous a couté énormément d’argent. Ce fut une fausse alerte, c’est une évidence. Une autre chose est également évidente : la grippe porcine est une grippe normale, pas plus dangereuse que celle qu’on a eue l’année dernière. Encore une fausse alerte ! On ne peut plus faire confiance à l’institution qui a donné de si mauvais conseils ! Il faut faire une enquête !"
  • 22/01/2010, La prévention, jusqu'où ?, Science publique
    Dans le domaine médical, malgré ses succès spectaculaires, la prévention peut prendre des voies parfois contestables. La vaccination contre la grippe A H1N1 fournit un exemple de ce qui peut apparaître comme une limite du principe de prévention. Trop prévenir peut coûter très cher. Sans parler de l’impact psychologique de mesures excessives.
  • 22/01/2010, Bulletin n°84, OMS
  • 21/01/2010, Serge LEFORT, Des médias aux ordres, Monde en Question
  • 15/01/2010, BLANDIN Marie-Christine et DOOR Jean-Pierre, "Face à la grippe A (H1N1) et à la mutation des virus, que peuvent faire chercheurs et pouvoirs publics ?", Rapport d'information n°204, Sénat
  • 15/01/2010, Bulletin n°83, OMS
  • 13/01/2010, Serge LEFORT, Maladie, médecine et philosophie, Monde en Question
  • 13/01/2010, L'épidémie de grippe A est terminée, selon le réseau Sentinelles, Reuters-Yahoo! Actualités
  • 09/01/2010, EWALD François, "Le principe de précaution oblige à exagérer la menace", Le Monde
    Dans notre pays, le principe de précaution a d'abord été entendu comme principe de responsabilité de l'Etat, notamment à l'occasion de l'affaire du sang contaminé. Ce principe a été réfléchi en fonction des responsabilités qu'il pourrait engager. Il est devenu à la fois un épouvantail et un principe de couverture. En faire trop semble vous protéger d'une mise en cause éventuelle. J'ajoute qu'il y a deux manières différentes d'envisager le principe de précaution : soit on considère qu'il s'agit d'un processus de délibération qui ne préjuge pas de la décision finale - en situation d'incertitudes, j'analyse tous les paramètres et j'opte pour la solution la plus adaptée ; soit j'interprète le principe de précaution en décidant qu'à partir du moment où il y a une incertitude, je suspends toute action, j'omets d'agir : c'est la logique du moratoire. Sous le label "principe de précaution", on trouve toutes les utilisations.
    Il faut bien voir que, dans une conjoncture de précaution, les politiques ne gèrent pas seulement le risque objectif, difficile à établir scientifiquement en raison du manque de connaissances, mais aussi le risque subjectif, créé par l'imaginaire collectif autour de la menace. La dimension de la communication, la gestion des craintes absorbent la gestion du risque "réel". Les communicateurs prennent les choses en main et les politiques sont liés.
    Avec le principe de précaution, on revient sur cette ascèse chère aux philosophes du XVIIIe selon laquelle un jugement juste devrait être dépassionné. Nous revendiquons un nouvel usage des émotions, de la peur en particulier, qui ne préserve pas de l'erreur. Le principe de précaution, loin de renforcer l'autorité de l'Etat, l'affaiblit et finalement prive la décision publique de sa légitimité. Enfin, en raison de l'exagération des émotions qui le constitue, il tend à placer la société dans une situation de crise, d'urgence permanente comme on le constate par exemple avec la question du climat.
  • 08/01/2010, KECK Frédéric, Lutte anti-grippe A : "Un échec du catastrophisme", Le Monde
    Bien que le gouvernement ait massivement communiqué sur la nécessité de se faire immuniser contre la grippe A(H1N1), la France est un des pays d'Europe où la vaccination volontaire a rencontré le moins de succès (moins de 10 % de la population totale) par rapport à l'objectif visé.
  • 08/01/2010, Bulletin n°82, OMS
  • 07/01/2010, Des parlementaires du Conseil de l'Europe veulent une enquête sur la grippe A, Le Monde
    Epidémiologiste critique à l'égard du traitement contre le virus H1N1, selon lui [Wolfgang Wodarg] qualifié faussement de pandémie "sous la pression de laboratoires", cet élu socialiste allemand veut que le Conseil de l'Europe demande à ses membres "des enquêtes sur les conséquences du déclenchement de la pandémie et sa prise en charge aux niveaux nationaux et européen".
    Dans un texte cosigné par des parlementaires de dix pays, il affirme que les laboratoires "ont incité à gaspiller des ressources destinées aux soins de santé en faveur de stratégies de vaccination inefficaces". "Elles exposent inutilement des millions de personnes en bonne santé au risque d'effets secondaires non connus de vaccins qui n'ont pas été suffisamment testés".
    "C'est une grippe tout ce qu'il y a de plus normale, affirme-t-il. Elle ne provoque qu'un dixième des décès occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c'est qu'elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu'ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie."
  • 06/01/2010, Grippe H1N1: les journalistes se défaussent, les autorités trinquent, AFP-Google Actualités
    Refaisant l'historique de la pandémie, Alain Ducardonnet compare la stratégie gouvernementale de communication à un plan militaire en temps de guerre. "Le problème est que la quasi totalité des différentes phases du plan a été appliquée alors que l'épidémie n'était globalement pas au rendez-vous", explique-t-il.
    Pour lui, "la révision stratégique a été un peu tardive", d'où "la distorsion de communication avec les médecins généralistes" écartés de la vaccination dans leurs cabinets. "Du coup", soutient-il, "il y a eu une véritable scission entre, d'un côté, l'Etat avec toutes ses armes et, de l'autre, des troupes qui ne voyaient pas la légitimité de ce que racontait l'Etat".
  • 06/01/2010, Grippe A : « Ils ont organisé la psychose », l'Humanité
    Révélation : président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg accuse les lobbys pharmaceutiques et les gouvernants.
    Il a obtenu le lancement d’une enquête de cette instance sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de panique autour du virus.
  • 06/01/2010, Corruption à l’OMS, Monde en Question
  • 06/01/2010, Retour sur les alertes grippales, Là-bas si j'y suis
  • 05/01/2010, Le virus du doute, Presseurop

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