Revue de presse Mexique 2008

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Avril

  • 29/04/2008, Peut-on encore être journaliste au Mexique ?, Le petit journal - RSF - YouTube
    Le journalisme indépendant est en crise au Mexique. Il y a deux semaines deux journalistes étaient assassinés dans l’état d’Oaxaca. Avec trois tués et trois disparus le pays reste, en 2007, le plus meurtrier d’Amérique Latine pour les journalistes.
  • 27/04/2008, Photos : En route vers Tijuana, Là-bas si j'y suis
  • 27/04/2008, MARCOS, I. En haut, penser le blanc. La géographie et le calendrier de la théorie, Comité de solidarité avec les peuples du Chiapas en lutte
    «Le problème, avec la réalité, c’est qu’elle n’entend rien à la théorie.»
    Un. On ne peut comprendre ou expliquer le système capitaliste sans le concept deguerre. La survie aussi bien que la croissance de ce système dépendent avant toute chose de la guerre et de tout ce qui y est lié et qu’elle implique. Par la guerre et dans la guerre, le capitalisme dépossède, exploite, réprime et opère une ségrégation. Dans l’étape que nous connaissons de mondialisation néolibérale, le capitalisme fait la guerre à l’ensemble de l’humanité.
    Deux. Pour augmenter leurs profits, les capitalistes ne se limitent pas à réduire les coûts de production ou à augmenter le prix de vente des marchandises. C’est vrai, mais cela reste incomplet. Ils procèdent au moins de trois autres manières différentes : l’une est l’augmentation de la productivité, une autre est la production de nouvelles marchandises et une autre encore est l’ouverture de nouveaux marchés.
    Trois. La production de nouvelles marchandises et l’ouverture de nouveaux marchés se font aujourd’hui grâce à la conquête et à la reconquête d’un espace social et de territoires qui ne présentaient auparavant aucun intérêt pour le capital. Connaissances ancestrales et codes génétiques, auxquels s’ajoutent les ressources naturelles telles que l’eau, les forêts et l’air, sont désormais des marchandises ayant déjà leurs marchés ou dont les marchés restent à créer. Les gens qui se trouvent dans ces espaces et territoires comprenant l’une ou l’autre de ces marchandises sont, qu’ils le veuillent ou non, des ennemis du capital.
    Quatre. Le destin inéluctable du capitalisme n’est pas son autodestruction, à moins que celle-ci n’inclue le monde entier. Les différents scénarios apocalyptiques annonçant que ce système s’écroulera de lui-même font erreur. Nous les indigènes, cela fait plusieurs siècles que nous entendons des prophéties allant dans ce sens.
    Cinq. La destruction du système capitaliste aura lieu uniquement si un ou de nombreux mouvements s’y affrontent et parviennent à le vaincre dans son noyau central, à savoir dans la propriété privée des moyens de production et d’échange.
    Six. Les transformations réelles d’une société, c’est-à-dire le bouleversement des relations sociales dans un moment historique, comme le dit bien Wallerstein dans certains de ses textes, sont celles qui s’opposent à l’ensemble d’un système. Actuellement, tout changement partiel ou toutes réformes sont impossibles. En revanche, les mouvements antisystème sont possibles et nécessaires.
    Sept. Les grandes transformations ne commencent pas d’en haut et ne sont pas non plus le résultat de faits de proportions colossales ou épiques, mais par de petits mouvements quant à leur forme qui semblent dénués de toute importance aux yeux de l’homme politique et de l’analyste d’en haut. L’histoire ne se transforme pas à partir de places noires de monde ou de foules indignées mais, comme l’indique Carlos Aguirre Rojas, à partir de la conscience organisée de groupes et de collectifs qui se connaissent et se reconnaissent mutuellement, en bas et à gauche, et construisent une autre politique.
  • 26/04/2008, PILGER John, Amérique latine : la démocratie attaquée, Le Grand Soir
    Au-delà du bruit et de la fureur de sa conquête de l’Irak et de sa campagne contre l’Iran, la première puissance mondiale mène une guerre discrète sur un autre continent, l’Amérique latine. En ayant recours à des intermédiaires, Washington vise à restaurer et renforcer le contrôle politique d’un groupe de privilégiés qui prétendent appartenir aux classes moyennes, à détourner la responsabilité des massacres et trafics de drogue du régime psychotique colombien et ses maffieux, et d’écraser les espoirs de la majorité pauvre d’Amérique latine qui ont été soulevés par les gouvernements réformistes du Venezuela, de l’Equateur et de la Bolivie.
  • 10/04/2008, Autour du Diplo, Là-bas si j'y suis - Le Monde diplomatique
    Au sommaire :
    - Protectionnisme à l’Américaine, par Serge Halimi
    - Carlos Slim, tout l’or du Mexique, par Renaud Lambert
  • 09/04/2008, MUSSET Alain, Mexico : écologie d'une mégapole, Conférences de la Cité des Sciences et de l'Industrie
  • 04/04/2008, CHOMSKY Noam, L’Amérique Latine est hors de contrôle, Investig’action - Geostrategie
    Pendant très longtemps les Etats-Unis ont considéré comme un fait acquis qu’ils domineraient et contrôleraient l’Amérique Latine, ses richesses naturelles, les investissements, les gouvernements, entre autres. En fait, un point clé de la politique des Etats-Unis c’est que "si nous ne pouvons pas contrôler l’Amérique Latine, comment pourrons-nous contrôler le reste du monde ? » Eh bien, pour la première fois de son histoire, l’Amérique Latine est hors de contrôle.
  • 01/04/2008-11/04/2008, En route pour Tijuana, Là-bas si j'y suis : 5/12, 6/12, 7/12, 8/12, 9/12, 10/12, 11/12, 12/12
    3 141 km de frontière séparent le Mexique des Etats-Unis. Un million de clandestins mexicains tentent de la franchir chaque année. Alors Georges W. Bush a décidé de construire un mur. Un impossible mur contre les pauvres...

Mars

  • 25/03/2008-31/03/2008, En route pour Tijuana, Là-bas si j'y suis : 1/12, 2/12, 3/12, 4/12
    3 141 km de frontière séparent le Mexique des Etats-Unis. Un million de clandestins mexicains tentent de la franchir chaque année. Alors Georges W. Bush a décidé de construire un mur. Un impossible mur contre les pauvres...

Février

  • Février 2008, Bulletin du SIPAZ

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